C’est une pièce bien sauvage que la vôtre, et d’une grande et âpre liberté. Je ne l’attendais pas, elle m’a surpris, et au bel endroit, car elle implique une lecture dans l’oralité pour être pleinement saisie, et il y a derrière une connaissance intime de ce que l’acteur peut porter, voire transcender. Le dernier monologue est, à cet égard, au sens vrai du mot, sidérant. Je crois surtout que c’est le début, l’ouverture d’un cycle, ce que vous laissez par ailleurs supposer (…)